Un sommet mondial met l’accent sur la promotion de sociétés inclusives

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GENÈVE, publié le 28 novembre 2016 – Construire des sociétés inclusives requiert un profond changement des mentalités, a déclaré la Communauté internationale bahá’íe (CIB) lors d’un discours d’ouverture au récent Sommet mondial sur la religion, la paix et la sécurité qui s’est tenu du 23 au 25 novembre au palais des Nations à Genève.

Diane Ala’i, la représentante de la Communauté internationale bahá’íe auprès des Nations unies à Genève, prononce une allocution lors du Sommet mondial sur la religion, la paix et la sécurité, organisé par le Bureau des Nations unies pour la prévention du génocide et la responsabilité de protéger et l’Association internationale pour la défense de la liberté religieuse.
Diane Ala’i, la représentante de la Communauté internationale bahá’íe auprès des Nations unies à Genève, prononce une allocution lors du Sommet mondial sur la religion, la paix et la sécurité, organisé par le Bureau des Nations unies pour la prévention du génocide et la responsabilité de protéger et l’Association internationale pour la défense de la liberté religieuse.

Avec l’appui de l’Union européenne et du gouvernement espagnol, l’événement a été organisé conjointement par le Bureau des Nations unies pour la prévention du génocide et la responsabilité de protéger et l’Association internationale pour la défense de la liberté religieuse. Il a mis l’accent sur le rôle et l’importance de la liberté de religion dans la prévention de l’extrémisme violent et des atrocités et a analysé la relation qui existe entre eux.

Parmi les participants figuraient Adama Dieng, conseiller spécial des Nations unies pour la prévention du génocide ; Azza Karam, ancienne conseillère pour la culture du Fonds des Nations unies pour la population ; Belen Alfaro Hernandez, ambassadrice itinérante de l’Alliance des civilisations, du ministère des Affaires étrangères et de la coopération de l’Espagne ; ainsi que Jan Figel, l’envoyé spécial pour la promotion de la liberté de religion et de conviction en dehors de l’Union européenne, entre autres.

S’adressant au forum, Diane Ala’i, la représentante de la Communauté internationale bahá’íe auprès des Nations unies à Genève, a parlé du rôle crucial que jouent les responsables religieux dans la culture d’une mentalité inclusive et tolérante. « Construire des sociétés pacifiques et sauvegarder la liberté de religion et de croyance dépendent de l’abandon des revendications d’exclusivité et de finalité par les chefs religieux », a-t-elle déclaré.

Diane Ala’i, la représentante de la Communauté internationale bahá’íe auprès des Nations unies à Genève, a abordé le sujet de l’importance de cultiver l’unité entre les différentes populations. «Vivre côte à côte ne suffit pas, a-t-elle expliqué. Les gens de différentes religions doivent apprendre à vivre ensemble. »
Diane Ala’i, la représentante de la Communauté internationale bahá’íe auprès des Nations unies à Genève, a abordé le sujet de l’importance de cultiver l’unité entre les différentes populations. «Vivre côte à côte ne suffit pas, a-t-elle expliqué. Les gens de différentes religions doivent apprendre à vivre ensemble. »

Mme Ala’i a également abordé le sujet de l’importance de cultiver l’unité entre les différentes populations. «Vivre côte à côte ne suffit pas, a-t-elle expliqué. Les gens de différentes religions doivent apprendre à vivre ensemble. »

« Nous constatons, a-t-elle poursuivi, que le service collectif au bien commun est un facteur puissant pour dissiper les malentendus entre les gens. »

En s’appuyant sur l’exemple de la réponse de la communauté bahá’íe en Iran à la persécution commanditée par l’État, elle a expliqué : « La communauté a été en mesure de contribuer au changement des cœurs et des esprits dans le pays grâce à la résilience constructive qu’elle a démontrée face aux décennies d’oppression, travaillant côte à côte avec leurs concitoyens pour l’amélioration de la société iranienne.

« Dans son approche constructive du changement social, elle a été témoin, ces dernières années, d’un niveau croissant de soutien de la part de ses compatriotes, à l’intérieur et à l’extérieur du pays. »

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