Des conseillers échangent idées et informations sur la transformation spirituelle et le changement social : 1re partie

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CENTRE MONDIAL BAHÁ’Í, publié le 1er juin 2018 – Quelque 80 responsables de la foi bahá’íe, membres des Conseils continentaux de conseillers, se sont récemment réunis pour une conférence au Centre mondial bahá’í à la suite de la 12e Convention internationale bahá’íe. À cette occasion, les conseillers ont pu réfléchir sur les développements majeurs dans les communautés bahá’íes du monde entier.

Zoraida Garcia Garro (à gauche) et Saba Mazza, membres du Conseil continental de conseillers pour l’Europe, souriants, lors d’une conversation avec d’autres conseillers.
Zoraida Garcia Garro (à gauche) et Saba Mazza, membres du Conseil continental de conseillers pour l’Europe, souriants, lors d’une conversation avec d’autres conseillers.

Les Conseils continentaux de conseillers aident les communautés bahá’íes dans leurs efforts pour œuvrer à la transformation sociale en encourageant l’action, en promouvant l’apprentissage et en diffusant les idées et les expériences acquises par les communautés locales dans le monde entier. Ils sont nommés par la Maison universelle de justice pour des mandats de cinq ans.

Au cours de leur récente réunion au Centre mondial bahá’í, le Service des nouvelles internationales bahá’íes a pu participer aux petits groupes de discussions des conseillers pour une série de podcasts sur le renforcement de la communauté, la transformation spirituelle et le changement social.

Sokumtheary Reth (à gauche), une conseillère du Cambodge, et Ritia Bakineti, une collègue du Kiribati, écoutent attentivement une conversation sur le rôle des jeunes dans leurs communautés.
Sokumtheary Reth (à gauche), une conseillère du Cambodge, et Ritia Bakineti, une collègue du Kiribati, écoutent attentivement une conversation sur le rôle des jeunes dans leurs communautés.

Dans le podcast ci-joint, les conseillers discutent de l’impact des programmes d’éducation spirituelle et morale offerts par la communauté bahá’íe sur la jeunesse et les communautés dans lesquelles elle vit, en s’appuyant sur des expériences au Cambodge, au Kiribati, en Inde, en Norvège, en Espagne et au Timor oriental.

L’un des participants, Daniel Pierce Olam, qui travaille avec des communautés du Timor oriental, a déclaré : « Les jeunes ont tellement envie de contribuer à faire progresser leur pays et, au cours des deux dernières années, nous avons vu beaucoup des jeunes de Dili, la capitale du Timor oriental, attirés par les programmes de la communauté bahá’íe, qui leur ont donné les moyens de contribuer à ce processus de progrès de leur communauté… Vous voyez de grands groupes de jeunes qui se sont réunis et ont commencé à marcher dans cette voie de service. Ce concept les a vraiment attirés et ils l’ont vraiment mis en pratique avec beaucoup d’enthousiasme. »

« Nous avons constaté l’impact des jeunes sur les quartiers où ils vivent », explique Zoraida Garcia Garro, en parlant des îles Canaries en Espagne. « Et nous voyons aussi leur transformation personnelle. »

Gloria Javid (à gauche) de l’Inde et son collègue conseiller Daniel Peirce Olam participent à une conversation avec d’autres conseillers au sujet de l’impact des jeunes sur leurs communautés.
Gloria Javid (à gauche) de l’Inde et son collègue conseiller Daniel Peirce Olam participent à une conversation avec d’autres conseillers au sujet de l’impact des jeunes sur leurs communautés.

Parlant de l’expérience de la communauté bahá’íe de New Delhi, en Inde, Gloria Javid déclare : « De grands groupes de jeunes qui se soutiennent mutuellement créent un environnement de pression positive sur leurs proches. Nous pensons toujours dans les écoles à la pression des pairs qui les attire dans la mauvaise direction… Quand existe un groupe important de jeunes qui font des choses ensemble, qui servent leur société, qui sont plus respectueux envers les enseignants à l’école, qui aident leurs jeunes frères et sœurs à la maison, cela crée un environnement favorable où faire des choses bien devient populaire. Ils se soutiennent mutuellement dans ces actions positives et ils ne se sentent plus comme… des exceptions. »

On peut écouter le podcast en anglais ici.

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