Le maire rend hommage aux bahá’ís luxembourgeois lors d’une commémoration

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VILLE DE LUXEMBOURG, Luxembourg, publié le 6 novembre 2012 – La première élection, il y a 50 ans, de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís du Luxembourg a été commémorée par la pose d’une stèle dans un parc du centre-ville.

La stèle commémorative porte, en français, la célèbre citation de Bahá’u’lláh, « La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens ».
La stèle commémorative porte, en français, la célèbre citation de Bahá’u’lláh, « La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens ».
Cette grande stèle, sur laquelle sont inscrites les paroles de Bahá’u’lláh : « La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens », a été dévoilée dans le parc de Merl le 30 octobre par Xavier Bettel, le maire de la ville. Il était accompagné de Viviane Loschetter, magistrate municipale, des membres du conseil municipal et d’autres invités remarquables.

Le conseil municipal a également planté un chêne dans le parc en cadeau à la communauté bahá’íe pour marquer cet anniversaire.

Xavier Bettel, le maire de la ville de Luxembourg (à droite de la pierre), dévoilant une stèle, le 30 octobre 2012, marquant le 50e anniversaire de la première élection de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís du Luxembourg.
Xavier Bettel, le maire de la ville de Luxembourg (à droite de la pierre), dévoilant une stèle, le 30 octobre 2012, marquant le 50e anniversaire de la première élection de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís du Luxembourg.
« Un arbre est un symbole de vie, a déclaré M. Bettel. Il croît organiquement et porte des fruits dont chacun de nous peut profiter. »

« Je crois aussi fermement que notre société doit s’ouvrir aux nouvelles idées et aux nouvelles croyances qui sont devenues parties intégrantes de cette société…, a-t-il ajouté. La ville de Luxembourg n’est pas seulement constituée de 61 pour cent de citoyens étrangers, mais elle rassemble un nombre toujours croissant de croyances et de convictions différentes. C’est pourquoi j’ai planté cet arbre en hommage à la communauté bahá’íe. »

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