A travers le partage d’expériences individuelles et collectives et des apprentissages déjà réalisés, le programme de ces rencontres propose à chaque individu de prier, comprendre, partager, apprendre, réfléchir, programmer, en vue d’agir une fois retourné à sa vie quotidienne.
La première de ces rencontres a eu lieu à Bourg-en-Bresse, les 17 et 18 octobre dernier, à la Maison des Associations en plein centre ville (les deux autres rencontres auront lieu à Bordeaux, les 21 et 22 novembre et à Tours, les 28 et 29 novembre).
92 participants actifs, attentifs et engagés, une belle motivation, de l’enthousiasme et surtout une vision commune dans l’unité des recommandations de la Maison universelle de justice.92 participants, dont cinq membres de l’Assemblée spirituelle nationale et la Conseillère Mme Moghbel, membre du Corps continental des conseillers, se sont retrouvés entre réunions plénières ou en groupes pleines de richesse et de sincérité. La première journée s’est terminée par une soirée où jeunes et artistes ont pu montrer leurs talents tout en enflammant l’assistance.
De gauche à droite : Firouzeh Moghbel, la Conseillère en compagnie d’un participant et de deux membres de l’Assemblée spirituelle nationale.Le deuxième jour a été consacré à planifier son engagement et surtout à comprendre comment le réaliser sans prétendre tout accomplir ou agir sur une trop grande échelle. En effet, dans sa vie quotidienne et au niveau de son entourage immédiat, chacun peut développer les qualités qui seront utiles à l’humanité. Les questions-réponses au cours de la conférence ont fait ressortir la diversité des expériences. Les témoignages souvent touchants ont montré le sens de la responsabilité de chacun, conscient qu’il doit « polir la pierre de patience » en toute humilité.
Le programme a alterné réunions plénières ou en ateliers pleines de richesse et de sincérité.Françoise, enthousiaste participante nous confie : « Le chemin de nos vies s’élargissait à partir de Bourg-en-Bresse et nous ne le savions pas ! »
Les jeunes, réunis en chorale, ont chanté pour « mettre le feu » !« Les jeunes ont chanté encore une fois pour « mettre le feu », les guitares ont vibré avec une pointe de nostalgie, Firouzeh et Alice ont psalmodié une dernière prière et … c’est le silence, un profond recueillement. On est bien. La foi est palpable.»
Le terme de Plan vise les actions concertées de tous les bahá’ís du monde pour participer à l’accomplissement du plan divin qui doit conduire l’humanité à l’unité et à la paix. ↩
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