Haïfa, Israël publié le 29 mai 2009 – Saint Jean d’Acre, le 29 mai 1892 – il y a 117 ans cette semaine – Bahá’u’lláh décédait dans sa demeure située tout près de Saint Jean d’Acre.
Chaque année, les bahá’ís du monde entier commémorent cette date avec des programmes de prières particuliers ; de nombreux croyants se tournant, lors de leurs prières, vers le lieu de sa sépulture. Pour les bahá’ís, c’est le lieu le plus sacré sur terre.
Le lieu de sépulture de Bahá’u’lláh et la maison adjacente dans laquelle il a vécu les dernières années de sa vie sont situés à Acre en Israël.Le tombeau de Bahá’u’lláh est adjacent à la maison dans laquelle il a vécu les dernières années de sa vie. Jusqu’à la fin de ses jours, il fut un prisonnier de l’empire Turc, même après que les autorités l’eurent autorisé à vivre en dehors des murs de la prison de Saint Jean d’Acre.
Son décès en 1892 marqua la fin de près de quarante années d’exil de son Iran natal, tout d’abord à Bagdad et ensuite en Turquie, avant d’être incarcéré à Saint Jean d’Acre en 1868.
Le tombeau de Bahá’u’lláh et les jardins sont ouverts au public. Ce lieu saint pour les bahá’ís est inscrit depuis juillet 208 sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité.Les bahá’ís reconnaissent Bahá’u’lláh comme étant la Manifestation de Dieu pour cette époque, soit le dernier d’une lignée de Messagers divins qui comprend entre autres Jésus, Muhammad, Moise, Krishna, Bouddha, Zoroastre.
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